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figaro - Page 4

  • Ivan Rioufol du Figaro cite Les dindons de la farce

    Extrait : “Malika Sorel-Sutter en apporte une démonstration supplémentaire dans son dernier essai. L’essayiste, ancienne membre du Haut Conseil à l’intégration, y rappelle notamment comment les États-Unis mènent « l’offensive contre le modèle républicain français ». Elle écrit : « Les Américains cherchent à exporter leur modèle de société (…) C’est ainsi que, tout en s’achetant les bonnes grâces des populations des “banlieues françaises” en y déversant des millions de dollars, ils n’ont eu de cesse de mener des actions de lobbying auprès des élites françaises pour les amener à décomposer et fracturer le corps social, en y introduisant la discrimination positive, les politiques de la diversité. Cette lutte contre les discriminations dont, selon eux, se rendraient coupables les Français ». Les jeunes musulmans de langue française font partie des cibles privilégiées. L’auteur écrit : « Ils ont, malgré eux, subi une forme de lavage de cerveau et se sont mués en défenseurs du modèle diversitaire et communautarisé américain ». Le wokisme est le dernier avatar en date de cette offensive de déconstruction”.

    Lire l'intégralité de l'article ici.

    Catégories : Revue de presse
  • La démocratie confisquée

    Lundi 14 juin, un débat était organisé par LCI avec l'ensemble des têtes de listes de la région Île-de-France. C'était La grande confrontation.

    Chacun des candidats a pu s'exprimer de sorte que les électeurs puissent prendre connaissance des propositions portés par les uns et les autres sur les sujets les plus importants. Certains moments, le débat était vif et cela est tout à fait naturel. À la fin du débat, chaque Francilien aura ainsi pu se faire son opinion pour l'éclairer dans son vote de dimanche. Mais quelle n'a pas été ma surprise - je devrais dire ma colère-, de voir qu'une fois le débat terminé, au lieu de laisser chaque électeur cogiter librement, voilà qu'une phase proprement surréaliste s'ouvre et qu'un journaliste (Yves Thréard du Figaro) prend le relais pour dicter aux électeurs ce qu'il convenait de penser du débat et ainsi, de fait, orienter leurs choix de vote.

    Du matin au soir, ce sont les journalistes qui écrivent et disent aux citoyens - à longueur de plateaux radio et télé-, ce qu'il convient de penser. Vous avez dit libre arbitre ? Et l'on feint ensuite de s'étonner que l'abstention soit devenu le premier parti de France !

    Voici donc la conclusion d'Yves Thréard, dans la foulée immédiate de "la grande confrontation". Et cela a été le mot de la fin du débat des régionales en Ile-de-France. Vous pourrez ainsi vous forger votre propre opinion.

    David Pujadas: Yves, le moment difficile est venu pour vous. Il y a beaucoup de choses qui ont été dites sur pas mal de sujets. Votre conclusion ?

    Yves Thréard : Camarade David, beaucoup de choses. Alors évidemment, il y avait une tentation facile pour les uns et les autres, parce qu'ils ont tous des profils connus avec des ambitions très importantes, et on se disait : ça va devenir un débat national, ça va pas être un débat local, régional. Et on les connaît, ils maîtrisent bien leurs sujets. Et finalement, eh bien non, on a beaucoup parlé de la région, et Valérie Pécresse a raison, il va falloir faire du contrôle de chiffres, du contrôle d'affirmations, du contrôle d'allégations, parce que là, je pense qu'il y a un panier à salades qui est bien garni avec beaucoup de choses à vérifier.

    Et là, David Pujadas interrompt Yves Thréard. On se dit qu'il va tenter de ramener Yves Thréard sur une voie un peu plus objective, un peu moins partisane, mais il n'en sera rien. Il veut simplement préciser que Total ne fermera pas sa raffinerie, qu'il n'y aura pas de licenciements mais des reconversions.

    Yves Thréard poursuit: Trois mots. Le premier mot est un prénom, c'est "Valérie". Évidemment, Valérie. Valérie au pays des bobards. Parce qu'évidemment, c'était la personnalité au cœur, au centre du débat. C'est elle qui devait prendre tous les coups. Elle a joué, pas toujours en fond de court d'ailleurs, elle est monté au filet. Elle a quand même réussi à se sortir de pas mal d'attaques qui, d'entrée, ont été assez violentes. Donc évidemment, en plus avec les ambitions qu'on lui prête, des ambitions présidentielles, eh bien elle n'était pas dans une position très confortable.

    Le deuxième mot, c'est pas un prénom, c'est "opposition". En fait, on vit depuis quatre ans, et Monsieur Saint-Martin est là pour évidemment enfoncer le clou au rythme du "en même temps", c'est à dire qu'il n'y a plus ni droite ni gauche, on est et de droite et de gauche, avec un président de la République qui fait un coup de barre à droite, un coup de barre à gauche. Eh bien ce débat est absolument, je dirais, en contradiction avec ça, car ces deux projets de société - je suis tout à fait d'accord avec ce qu'a dit Valérie Pécresse tout à l'heure, c'est-à-dire que les quatre prétendants qui sont à côté de vous, David, défendaient un projet clairement de gauche qui tirait même vers une lutte révolutionnaire avec Madame Artaud, évidemment, qui nous promet toujours, eh bien, des lendemains qui chantent pour elle. Et en fond de court, trois candidats qui symbolisaient trois droites, trois droites pas si différentes que ça. Deux droites très proches l'une de l'autre, et une extrême droite qui parfois, eh bien, généralement sort du court pour nous faire de grandes digressions générales, comme Madame Artaud, où on sent qu'ils ont besoin, eh bien, l'un et l'autre, pour s'affirmer, de donner des grandes lignes idéologiques plutôt que de s'attacher aux faits régionaux, en tous les cas.

    Le troisième mot que j'emploierai, c'est "nationalisation". Évidemment, parce que ce débat, compte tenu des participants et des partis politiques qui sont présents, tout de suite on se projette. Et c'est d'ailleurs le début de la conclusion de Monsieur Bardella : on se projette dans dix à onze mois vers la présidentielle. Et ce qui était intéressant, c'est de voir les regards, les piques, les attaques entre les uns et les autres. Et on a vu que finalement, la gauche, entre eux tout va bien, mais ils sont divisés. Je ne sais pas s'ils sont irréconciliables, mais en tout les cas, ce soir ils n'ont pas montré de fracture qui paraît insurmontable. Et pourtant, et pourtant, et les études d'opinion le montrent: ils sont faibles dans le pays. Et la droite, on a remarqué la difficulté entre Madame Pécresse et Monsieur Saint-Martin de se distinguer l'un de l'autre, parce que finalement, ils disent et ils proposent souvent les mêmes choses. En revanche, Monsieur Bardella, lui, il est dans son couloir. Et on a senti d'ailleurs que Monsieur Saint-Martin était assez énervé à un moment, je crois que c'était vers 22h15, il y a eu un échange je dirais assez musclé entre l'un et l'autre, comme une préfiguration de ce qui pourrait peut-être se passer d'ici à dix mois.

    Catégories : Politique
  • Entretien dans le Figaro Magazine

    Dans le Figaro Magazine de cette semaine, supplément du week-end du Figaro (page de couverture avec B. Obama : « La revanche de l’Amérique »), vous pourrez lire mon entretien avec Patrice de Méritens. C’est un bel entretien de 5 pages qui s’intitule « Tout immigré doit puiser en lui la force de s’insérer dans la société française ».

    Il ne me semble pas que l’entretien soit disponible en ligne, ni qu’il le sera. Aussi, je vous recommande vivement l’achat du Figaro de ce jour, avec lequel est diffusé le Figaro Magazine (ainsi que le Figaro Madame).

    Je remercie bien vivement Patrice de Méritens ainsi que l’ensemble de l’équipe de rédaction du Figaro, qui m’offre ainsi l’heureuse possibilité de parler directement à nos concitoyens.

    Suite à mon entretien dans Valeurs actuelles, j’ai reçu une avalanche de courriels. Cela a également été le cas pour Valeurs actuelles, qui a tenu à me le signaler et en a publié quelques-uns dans le numéro du jeudi 5 mai, sous le titre « Malika Sorel plébiscitée ».

    Suite à cet entretien, un grand nombre des courriels que j'ai reçus émanaient d’enseignants et de militaires. Ce sont des messages de remerciement qui m’ont tous beaucoup émue. L’école et l’armée, deux des principaux piliers de notre nation…

    Par cruel manque de temps, je ne suis pas en mesure de répondre à chacun de vos messages. Aussi, je souhaiterais saisir l’occasion de ce billet pour vous remercier tous. Votre soutien m’est très précieux. Je voudrais simplement vous dire que pour moi, la France est ma mère, car c’est elle qui m’a fait naître à la vie, la vraie, à savoir la vie d’individu libre (croyez-moi, il n’y a rien qui soit plus important que la liberté d’être) ; que le peuple français est mon unique famille, car c’est celle pour laquelle mon cœur bat à chaque instant. Aujourd’hui encore, je continue d’être quotidiennement émue par la gentillesse des Français, par leur humanisme profond. Jamais je n’accepterai l’effroyable injustice dont les Français sont victimes, ni les mensonges par lesquels on tente de les déposséder du choix de leur destin.

    Ajout du 9 mai : le Figaro vient de publier mon entretien sur la Toile. Vous pouvez donc participer à le diffuser autour de vous. Un grand merci à chacun d’entre vous !

    Catégories : Revue de presse
  • Le bloc-notes d’Ivan Rioufol et RTL

    Dans son bloc-notes publié dans le Figaro du vendredi 29 avril, le journaliste Ivan Rioufol a parlé de mon dernier ouvrage. J’ai beaucoup aimé son article, que vous pouvez également lire en ligne. Extrait : « Son livre fait d’ailleurs prendre conscience de l’énormité des désinformations mises au service de la vaine méthode Coué, pauvre artifice qui voudrait faire croire qu’il suffit d’obtenir la nationalité pour devenir français, tout en se réclamant de ses différences. »

    Au micro de RTL le 28 avril dernier, il avait également salué mon engagement au service de notre pays, et recommandé la lecture de mon « Langage de vérité ».

    Catégories : Revue de presse