15 juin 2011
La dictature de la bien-pensance
Je remercie bien vivement Caroline Castets, rédactrice en chef adjointe au Nouvel Économiste, de notre entretien et de l’article qu’elle publie sur la dictature de la bien-pensance, dans le numéro que vous trouverez en kiosque à partir de ce jeudi 16 juin : « C’est ainsi que l’on voit émerger ce que Malika Sorel appelle “des indignations sélectives”. Un phénomène de tri sélectif voulant que ne suscite l’émotion, et donc l’unanimité, que ce qui est conforme aux conclusions préétablies de ces dictatures morales" […] “C’est ainsi qu’on laisse les problèmes couver avec le risque qu’un jour, les outils démocratiques ne suffisent plus à les résoudre”, déplore Malika Sorel. »
