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Ami, entends-tu…   Ohé, partisans…

Ce matin, je me suis réveillée habitée d’une sourde angoisse. Pourtant, le 12 septembre dernier, en quittant la Cour d’appel de Versailles, j’étais très confiante. Je me disais « c’est bon, c’est gagné ! » Mais ce matin, j’ai pris peur. Si Baby Loup perdait, alors ce serait le raz-de-marée.

Le téléphone a sonné en début d’après-midi. Lorsque j’ai raccroché, des larmes ont inondé mon visage. Ce n’était pas des larmes de joie. C’était des larmes de colère d’avoir aujourd’hui à défendre le bien le plus précieux du peuple français, la digue qui protège la France de la montée des eaux troubles de la discorde ; ces eaux que tant d’élites politiques, médiatiques et intellectuelles participent à faire monter.

Si la France est aujourd’hui menacée, c’est parce que les hommes et femmes politiques ne font pas respecter la Constitution et ne la respectent souvent pas eux-mêmes. Il nous faut considérer cette victoire comme la première marche vers la grande victoire, celle qui verra les principes constitutionnels du peuple français de nouveau respectés sur le sol français.

Je voudrais dire merci à Natalia Baleato, directrice de la crèche Baby Loup. Cette femme est tout simplement extraordinaire ; une véritable chance pour notre pays.

Catégories : Politique

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