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Une époque de propagande

Lorsque l’on évoque la « propagande », on pense presque aussitôt au régime nazi ou au Soviet suprême. On ne voit pas, ou on ne veut pas voir, que depuis plus de trente ans nous sommes soumis à un régime médiatique qui relève de la propagande. Dans ces conditions, parmi les Français qui iront voter s’en trouveront beaucoup qui ne pensent plus par eux-mêmes. Ils sont prisonniers de la pensée unique qui a tout fait pour détruire l’héritage français. Ils ont perdu leur liberté de pensée et de jugement.

Voici ce que j’écrivais dans mon dernier ouvrage, Immigration, intégration: le langage de vérité :

« Ces médias qui entravent le fonctionnement de la démocratie

Même si Internet prend une ampleur croissante dans l’information des citoyens, les médias traditionnels demeurent (encore) les véritables faiseurs de rois. En s’appliquant à sélectionner très soigneusement les idées, les personnes et les personnalités qu’ils souhaitent voir promues, les médias modèlent constamment l’opinion publique. Les médiacrates s’emploient à l’orienter. Ils la représentent à leur guise, à longueur de pages et d’heures d’émissions, ce qui contribue à la façonner (…)

Il suffit d’observer la vie politico-médiatique de ces trente dernières années – ne serait-ce qu’à l’échelle de la dernière décennie, la chose est frappante – pour saisir l’ampleur de la régression démocratique. Les médias sont devenus de redoutables filtres actifs. Ils détiennent un droit de vie ou de mort sur les signaux émis par les élites politiques, et donc sur ces élites elles-mêmes. Ces dernières l’ont d’ailleurs intégré dans leur stratégie d’action et de communication. Voilà un poison qui paralyse l’action politique (…)

La pensée libre est bâillonnée au profit de la parole de ceux qui, par ignorance ou par calcul, œuvrent à affaiblir la cohésion nationale. N’est-ce pas plus sensationnel qu’une analyse subtile ? L’opinion publique est prise en otage par une presse qui se fait le porte-voix des diviseurs, et aussi d’hommes politiques qui, de crainte de rater un train, s’engouffrent dans la dernière tendance, celle du communautarisme. Pas un jour ne passe sans que de nombreux médias n’apportent leur aide aux communautaristes, ceux pour qui la France doit être mise en accusation et se repentir. La plupart des médias offrent bien plus souvent, et plus facilement, une tribune à ceux qui font la propagande de la “diversité” et travaillent à la communautarisation de notre société, qu’à ceux qui défendent le modèle républicain français (…)

Sur la question de l’intégration, les médias s’appliquent à décourager toute évocation de l’existence et de la réalité d’une identité française. À leurs yeux, seuls les étrangers ont le droit de posséder une identité et de l’affirmer. Les Français qui tentent d’évoquer la leur sont, quant à eux, immédiatement accusés de racisme et de xénophobie. Le parti pris contre les idéaux qui symbolisent l’identité du peuple français est évident. Quel sinistre paradoxe que d’utiliser le concept de “diversité” pour tenter d’étouffer l’âme de la France, et celui de “minorités visibles” pour vampiriser l’universel. Cette manipulation des foules, à laquelle se livrent bien des intellectuels et animateurs de shows médiatiques, est un jeu dangereux, car elle provoque une crispation de la société française qui peut déclencher, à terme, un rejet viscéral de tout ce qui est d’origine maghrébine ou africaine.

À la suite d’associations qui se sont donné pour mission de lutter contre le prétendu racisme des Français, les médias ont créé un climat qui pèse très lourd sur notre société. Ils ont coulé une chape de plomb sur la liberté d’expression dans la société française. Les Français ne doivent plus se laisser impressionner par les “ayatollahs de la pensée unique”, ceux qui, depuis plusieurs décennies, utilisent le terme “raciste” comme une arme atomique dans le but de dissuader toute liberté de pensée et de jugement de s’exercer en France (…) »

Je n’ai aujourd’hui qu’un seul message : Français, recouvrez votre liberté ; faites la démonstration que vous êtes encore un peuple libre, que vous n’êtes pas un peuple soumis !

Catégories : Politique

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