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Public Sénat : l'école cible du terrorisme

À l'invitation de la journaliste Oriane Mancini, j'ai participé à un débat dans le cadre de la matinale d'hier matin. En voici le thème tel que publié sur le site de Public Sénat :

"Quelques jours après l'attentat qui a fait un mort et plusieurs blessés dans un lycée à Arras, le ministre de l'Éducation nationale Gabriel Attal a lancé une enquête sur la sécurisation des écoles, collèges et lycées auprès des chefs d'établissements. Pour éviter ce type d'intrusion, certains établissements ont déjà commencé à installer des portiques de sécurité pour filtrer élèves et professeurs.

Le gouvernement a mis en œuvre une série de mesures et de directives pour renforcer la sécurité des établissements scolaires et de la communauté éducative. Les professeurs sont-ils suffisamment protégés ?

L'école peut-elle redevenir un sanctuaire ?

La laïcité est-elle en danger ?

La fermeté de G. Attal est-elle suffisante dans le combat contre l’islamisme ?"

Pour moi, bunkeriser les établissements scolaires ne servira à pas grand chose, mais coûtera "un pognon de dingue" qui serait bien utile pour enrayer la chute vertigineuse de la France attestée dans les classements internationaux tels que Timms pour les maths.

D'ailleurs, l'assassinat de Dominique Bernard s'est produit à l'extérieur de l'établissement.

Bunkeriser, c'est réagir en aval alors même que ce sont les causes qu'il convient de traiter. Je le dis depuis fort longtemps. J'ai prêché dans le désert car comme le dit si bien le proverbe, "il n'est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre".

Bien sûr, comme chaque fois que j'interviens, j'ai dit ce qu'il convenait de faire et quels étaient les vrais acteurs à adresser.

Catégories : Revue de presse

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