“C’est le meilleur livre que j’aie lu sur les questions de l’islamisation de la France (...) C’est un livre très politique. C’est remarquablement bien écrit et c’est le meilleur livre qu’on puisse lire aujourd’hui sur les dangers de l’islamisation de la France et nos lâchetés.

Et c’est vrai que dans cette campagne électorale, ça devrait revenir de manière raisonnable, si je puis dire – car c’est quelqu’un de profondément raisonnable – comme un des thèmes fondamentaux.

Qu’est-ce qu’on peut faire par rapport à cette atomisation de la France, cette communautarisation de la France, cette islamisation de la France ? On a raté l’intégration. On n’a pas voulu de l'assimilation : c’est ce que raconte Malika Sorel.

C’est vraiment un livre essentiel.”

C’est à partir de 11' :

J'étais l'invitée de Timothée Dhellemmes pour Figaro live, pour y parler assimilation et laïcité.

J'y ai abordé des éléments que les Français ignorent, comme le fait que ce n'est pas la France qui est à l'origine du concept de séparation des Églises et de l'État, mais les États-Unis ; ceux-là même qui nous reprochent pourtant constamment notre laïcité, nous attaquent à ce sujet et nous affaiblissent grandement.

Retrouvez ici mon intervention: https://video.lefigaro.fr/figaro/video/malika-sorel-quest-ce-quetre-francais/

J‘étais aujourd‘hui l'invitée d‘André Bercoff dans son émission “Bercoff dans tous ses états” sur Sud Radio, pour évoquer Les dindons de la farce.

« La repentance dresse une partie des immigrés contre la France »
Par Alexandre Devecchio

EXTRAITS EXCLUSIFS - « Sans la France, je suis apatride. Je fais partie de ceux qui ne sont que franco-français ou franco-rien d’autre », écrit Malika Sorel dans Les Dindons de la farce (Albin Michel), dont nous publions les bonnes feuilles.

Malika Sorel a fait le choix de l’assimilation par amour de la culture et de l’histoire française. Elle regrette que les élites dirigeantes qu’elle a côtoyées lorsqu’elle était membre du Haut Conseil à l’intégration aient renoncé à défendre notre modèle de civilisation. Au contraire, selon elle, par leur refus de stopper l’immigration, leur course à la repentance et leur politique de discrimination positive, ces dernières sont responsables de la communautarisation de la société.

Lire l'article en intégralité ici.

Les passages de Romain Gary sont issus de Chien blanc.