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  • Christine Lagarde, apôtre de la Charia

    Pendant que le peuple est soumis au feu nourri du feuilleton de l’affaire dite « Bettencourt », certains s’affairent en haut lieu à violer nos fondamentaux sans susciter la moindre réaction. Jugez-en par vous-mêmes :

    Le Monde : « La ministre des finances, Christine Lagarde, continue d’adapter les règles fiscales et juridiques pour faciliter les investissements conformes à la charia, la loi islamique. »

    N’y aurait-il donc plus aucune éthique dans notre pays, pour qu’on en soit rendu à vendre notre âme pour une poignée de billets ? L’attrait de l’argent serait-il parvenu à tout balayer, y compris les repères fondamentaux ? Pour le savoir, il faudrait que Mme Lagarde recueille le sentiment des Français en leur posant, par exemple, la question suivante : « êtes-vous prêts, pour tenter de dynamiser l’économie française, à tourner le dos à vos valeurs fondamentales ? » Gageons que jamais cette question ne sera posée, car la réponse est déjà connue.

    Le Premier ministre et le Président de la République sont-ils tenus informés par Mme Lagarde de l’objet de son zèle ? Je ne comprends pas comment, au sein d’une même équipe, certains peuvent travailler à renforcer la lutte contre Al Qaïda qui veut instaurer la Charia, quand d’autres, au même moment, s’affairent à introduire la Charia sur notre sol. Je ne comprends pas non plus qu’aucun lien de causalité ne soit jamais établi, par le monde politique ni par les médias, entre l’adaptation constante, depuis plus de trente ans, de notre société à des valeurs étrangères à son héritage culturel et historique, et la terrible dégradation de l’insertion de populations issues de l’immigration. Les démonstrations ne manquent pourtant pas, et chaque jour nous en apporte son lot, jusqu’à cette rebellion d’un quartier de Grenoble pour venger un des leurs, braqueur et ayant tiré sur la police. Ah, la suprématie des liens de communauté de valeurs !

    Pour ne pas vous laisser penser que Christine Lagarde serait seule dans ses idées anti-républicaines, je vous recommande la lecture du programme des tables rondes qui se sont déroulées en mai 2008 au Sénat sous la houlette de Jean Arthuis.

    Je vous recommande également la lecture de ce billet, qui mentionnait déjà à l’époque une réalité que l’on masque et qui tend pourtant à s’amplifier. Il s’agit de l’incidence des dates du ramadan sur la rentrée scolaire des élèves. Le silence, voire la connivence des institutions, est inacceptable. Et certains, dans notre classe politique, osent ensuite évoquer l’égalité des chances entre des enfants dont le cerveau sera resté oisif durant parfois trois bons mois, et les autres élèves qui rentreront à l’heure à l’école et auront de surcroît mis à profit leurs vacances pour lire, s’instruire et consolider leurs acquis ! Quelle hypocrisie !!!

    Par quel miracle espère-t-on obtenir des étrangers qu’ils respectent les normes collectives de la société française, alors que leur est envoyé dans le même temps, et à intervalles réguliers, le signal que c’est notre société qui va s’adapter à leurs normes ? Quel drame que la cohérence ait déserté les allées du pouvoir depuis des décennies !

    Vous voyez, Monsieur le Président, vous vous trompez d’analyse en faisant porter le chapeau à nos préfets. Ces pauvres malheureux ne sont pas pour grand-chose dans la prolifération des rébellions contre notre société. C’est la classe politique qui est responsable et coupable, ainsi qu’une partie de l’intelligentsia, sans oublier la presse ; cette presse qui intoxique les citoyens depuis trop longtemps. Une partie des élites trahit l’héritage du peuple français. C’est une vérité qui doit être dénoncée. Tant que vous ne le comprendrez pas, vous ne pourrez vous placer en situation d’élaborer les solutions globales et pérennes qui permettront de relâcher le nœud coulant qui se resserre chaque jour davantage sur la France. Puisez donc dans la sagesse de ce policier : « À force de reculer, de renoncer, on arrive à des situations comme aujourd’hui. Un jour, on se réveille, c’est trop tard, c’est l’effet boomerang. »

    Catégories : Insertion - intégration
  • Le peuple français sait d'où il vient

     

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    Le 14 juillet 1790, la fête de la Fédération réunissait les députés des 83 départements, ainsi que le Roi Louis XVI, sur le Champ-de-Mars à Paris. Depuis 1880, c’est cette date que le peuple français commémore à l’occasion du 14 juillet, devenu jour de la fête nationale.

    Que de larmes et de sang ont été versés pour que le peuple français puisse vivre l’idéal de Liberté, d’Égalité et de Fraternité ! Mais que reste-il aujourd’hui de cet idéal ? Attaqué de toutes parts, il devient chaque jour plus fragile. Ironie du sort, ce sont des enfants de France allaités à sa mamelle qui lui portent les coups les plus durs, ceux qui pourraient un jour emporter son dernier souffle de vie.

    Extrait de mon article pour les 30 ans de la revue Le débat : « Dans notre pays, pas un seul intellectuel ni une seule personnalité politique qui ne se réclame de la République ; et pourtant, ces dernières décennies, aucun des principes fondamentaux qui constituent les piliers de cette République n’aura été épargné. Mais les peuples ne sont pas amnésiques. Ils possèdent une mémoire collective. Ils savent qui ils sont et d’où ils viennent. »

    Monsieur le Président de la République, je vous interpelle en ce jour de notre fête nationale. Vous êtes, comme moi, un enfant de la première génération de l’immigration ; vous de l’immigration européenne, moi de l’immigration africaine. Si vous ne semblez pas imprégné autant que vos deux prédécesseurs de la culture historique et littéraire du peuple français, vous donnez, contrairement à eux, le sentiment d’avoir compris qu’un danger de mort planait au dessus de la tête de Marianne. Vous avez également sur eux l’immense avantage du courage politique. Vous avez aujourd’hui l’obligation historique de mobiliser votre courage sur la question de la restauration de la France. Si le peuple français vous a choisi pour conduire son destin à un moment où la République vacille, c’est que vous lui avez fait cette promesse. Mais vous ne l’attirerez plus avec des promesses, seulement avec des actes forts qui rompront définitivement avec la pensée unique qui a enchaîné la France et l’a entraînée vers le déclin.

    Vous avez aujourd’hui la possibilité de permettre au peuple français, trop longtemps bâillonné, d’accomplir la révolution pacifique qui lui permettra de clore le chapitre de la Révolution française. Vous ne pouvez ignorer qu’« à vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inéluctables les révolutions violentes » (John F. Kennedy).

    Catégories : Identité